Carnets
Henry Stanier, The Alhambra, Granada, 1869. Dès le premier frisson qui carmine l’aurore Alors que dans le ciel quelque nuage mousse Je vois parfois surgir d’une ravine rousse Le regard assombri del Cid Campeador Captive, je descends cueillir dans la vallée...
© Christophe Charbonnel J’aimerais refleurir au pays de ses sources Et n’être plus que mousse entre ses doigts de lierre À son flanc de nigelle épingler mes bruyères Veiller sur son sommeil comme une abeille douce Voyeur ensorcelé par le parfum des mers...